(Réflexion) L’égalité parfaite par le mérite
(Réflexion) L’égalité parfaite par le mérite

(Réflexion) L’égalité parfaite par le mérite


« Quand il s’agit d’obtenir les honneurs, on rame avec le mérite personnel et on vogue à pleines voiles avec la naissance. » Montesquieu « Pensées »


La vie est loin d’être un long fleuve tranquille. Nous ne cessons de croiser le fer pour « devenir ».


Certains valeureux combattants parviennent à devenir quelque chose grâce à leurs talents, leurs travails, leurs abnégations !


Malheureusement ces individus deviennent de plus en plus rares.


Ils sont relégués aux rangs de « privilégié », de « vaniteux », ils sont devenus les marginaux de la société post-moderne du XXIe siècle.


Notre société autrefois Phare du Monde n’est plus que l’ombre d’elle-même. Elle ne cesse de faire muter nos valeurs ancestrales vers un monstre qui cris à l’inégalité face à l’échec, qui rugit au racisme face à l’amour de son pays, enfin qui n’écoute plus son peuple mais ses minorités. Elle n’a de cesse que de courber l’échine à la moindre revendication. Nous sommes arrivés à « revoir notre Histoire », la travestir afin de blesser personnes et nous voyons nos arts tomber dans l’oubli.


Sous prétexte d’une pseudo égalité des chances, nos politiques ont petit à petit instauré un « nivellement par le bas ». La maison de Francie commence à s’effondrer sur elle-même, lasée de cette médiocrité intellectuelle et vertueuse que l’on lui impose.
Or le meritas peut nous empêcher de sombrer dans les travers de l’obscurantisme.
Car il implique d’effacer nos différences pour laisser place à des faits.
Il permet d’appliquer une égalité aveugle envers chaque citoyen, il n’est plus question d’argent, d’ethnies ou de sexe.


Il est question de travail, de sacrifice et de sueur. Ce que notre nation a de plus beau réside dans son génie. Il est de notre pouvoir de réfléchir sur un avenir plus beau et plus juste afin de redonner à notre pays sa grandeur perdue.

Nous devons nous battre et ne jamais perdre espoir car : « Impossible n’est pas français ».


Maxime Padilla

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